Les anglicismes ont derrière eux une longue pratique dans la langue française. Au fil du temps, ils font partis intégrantes de la sémantique française, et la plupart des utilisateurs oublient leur consonance anglophone pour les prononcer en omettant ce fameux accent british.
Si certains comme foot, barbecue, best off, city, cocktail, gloss, jack-pot, etc sont courant depuis des décennies, d’autres émergent avec les dernières tendances à la mode, qu’elles soient vestimentaires, culinaires ou autres.
Les anglicismes sont entrés dans les mœurs et nous connaissons la plupart d’entre eux. Cependant, pour ne pas faire d’erreur, pour être sur d’avoir bien compris, il est préférable de consulter notre dictionnaire en ligne qui les définit correctement.
Car de nouveaux sont apparus, comme chiller, qui désigne le fait de se la couler douce, ou encore feedback qui signifie le retour sur info. De plus en plus couramment l’on parle de burn-out, cette dépression qui concrétise l’épuisement professionnel.
Les anglicismes sont évidents pour les jeunes générations qui ont pour habitude de mélanger français et anglais sur les réseaux sociaux et dans leurs échanges avec leurs pairs. Une pratique professionnelle, amicale, journalière qui reste une exception pour les plus âgés.
C’est pourquoi, le temps que les anglicismes se propagent plus encore dans la société, il est préférable de consulter notre lexique actualisé. Vous en apprendrez plus sur ces mots, quelquefois imprononçables mais qui ont leur poids dans une conversation.
La présence des anglicismes se fait très effective dans les médias, mais aussi dans les entreprises. Il est préférable de les maîtriser sous peine de passer pour un has been. Mieux vaut pour vous faire le buzz avec vos connaissances en la matière.
Plus personne ne s’offusque que les anglicismes entrent au panthéon de la littérature.
Oh, putain ... con ! Comprendre un marseillais parler n'est parfois pas simple.